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"Ces misérables, on les jetait en pâture aux machines, on les parquait ainsi que du bétail dans les corons, les grandes Compagnies les absorbaient peu à peu, réglementant l'esclavage, menaçant d'enrégimenter tous les travailleurs d'une nation, des millions de bras, pour la fortune d'un millier de paresseux." (Emile Zola, Germinal)
Desde que li o Germinal, há uns bons 30 anos, nunca mais me emocionei com uma greve.
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